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Eden Utopie de Gloria Friedmann !

Les oiseaux du paradis, Gloria Friedmann, cour d'honneur du château d'Oiron

L’Utopie d’Eden de Gloria Friedmann au château d’Oiron est celle d’un monde ou humain et animaux vivent en harmonie.

L’horizon des événements

Exposition collective avec : Charbel Samuel Aoun, Tiphaine Calmettes, Anne-Charlotte Finel, Noémie Goudal, Laurent Tixador, Capucine Vever
Commissariat : Patrice Joly 

L'horizon des événements, château d'Oiron (photo Aurélien Mole) 

« L’horizon des événements » est une exposition in situ, qui prend le château d’Oiron comme l’archétype de toute demeure. Elle élargit cette notion même d’habitat à la planète tout entière, afin d’y importer des préoccupations « terrestres », sans sombrer pour autant dans le discours alarmiste, en laissant des portes de sortie à l’imaginaire, comme un horizon de secours…

Ils étaient une cinquantaine à braver la chaleur caniculaire en cette soirée du samedi 18 juin, pour assister au spectacle déambulatoire "Epouvantails" de la compagnie Blast, dans le Parc du Château d'Oiron. Chapeaux et bouteilles d'eau à la main, les spectateurs ont suivi les comédiens tout au long du parcours pour écouter cette fable écologique et d'anticipation qui pointe du doigt la désertification de nos campagnes, la transformation du paysage et les dégâts à long terme qu'entraine une industrie malsaine.

Cette déambulation théâtrale et poétique qui a clôturé la saison culturelle de l'association S'il vous plaît était programmée et organisée par le Théâtre de Thouars en partenariat avec l'association des "Amis d'Oiron" et le Château d'Oiron-Centre des Monuments Nationaux.

Suite à l'invitation du château d'Oiron - CMN et de l'Association des Amis d'Oiron, 45 personnes ont participé à une performance artistique sous la conduite de l'artiste architecte plasticien libanais Charbel Samuel Aoun.

Le samedi 14 mai 2022, en début d'après-midi, sous la conduite de l'artiste, les 45 personnes se sont positionnées de Oiron à Brie, à une distance d'environ 125 m les unes des autres.

Les personnes "se sont passé un cri" qui s'est éloigné du château vers la plaine oironnaise …

Chaque personne était équipée d'un smartphone et filmait le paysage devant elle tout en enregistrant le son de son propre cri. L’artiste a ensuite récupéré l’ensemble de ces enregistrements. Il les réunira pour en faire un montage qui sera diffusé dans le château le temps de l’exposition sur le thème de la nature et du vivant.

Au col de la Furka en Suisse, à 2 429 mètres d’altitude, aux confins des régions habitables, enseveli sous la neige neuf mois sur douze, l’hôtel Furkablick, construit en 1893, devient à partir de 1984 et pendant plus d’une décennie, un lieu de réflexion et de production, baptiséFurk'Art.

L’exposition a rassemblé des documents originaux de communication, les ephemera de Furk'Art, accompagnés de témoignages filmés d'artistes et protagonistes, de vidéos d'archives, ainsi que des écrits.

Exposition conçue par Thomas Rodriguez.

A l'occasion de la présentation de l'exposition Furkat Ephemera, l’oeuvre définition/méthode 486 : la peinture mise à plat de Claude Rutault a été prise en charge au château d’Oiron et à l'institut Furkablick pendant toute la durée de l'exposition.

Cette exposition est proposée à l'issue d'une série d'interventions d'Isabelle Dehay en visio-conférence au printemps 2021, en période de confinement, auprès des élèves de première, spécialité Humanité Littérature et Philosophie, de la Cité scolaire Jean Moulin de Thouars.
Dès la réouverture du château, les élèves ont pu rencontrer l'artiste et découvrir "in vivo" le patrimoine et l'espace du château.
Elle a mis au point un algorithme qui permet, par ordinateur, de réaliser des oeuvres en temps réel.  Le mouvement devant la caméra est enregistré. L'algorithme définit alors ce qu'il convient de garder ou de supprimer. Dans les portraits, des manques, des vides, des trous apparaissent.
Les portraits et les vidéos réalisées questionnent nos représentations du monde et l'altération d'une image dans le temps,  qu'elle soit numérique ou picturale.
L'exposition est complétée par la présentation de la récente série de 18 portraits produite en 2021 par Isabelle Dehay.

Le samedi 26 février 2022, à 15 h, l'exposition a été présentée par Isabelle Dehay et Jérôme Diacre, professeur de philosophie à la Cité scolaire Jean Moulin de Thouars et professeur relais pour le château.

A l’occasion de la clôture de l’exposition « Grand bazar – choix de Jean-Hubert Martin dans la collection Antoine de Galbert », le château d’Oiron a convié à une déambulation musicale parmi ses salles habitées d’œuvres contemporaines, sur une proposition d’Anne-Laure CHAMBOISSIER-CHAMPROJECTS.
Les artistes se sont inspirés du lieu pour apporter leurs propres compositions à cette harmonie singulière et donneront, aussi, leur interprétation de certains passages de l’œuvre musicale, créée, il y a 28 ans, par Gavin Bryars pour la collection du Château d’Oiron.

Le monument a accueilli le temps d'un après-midi les performances et les interprétations musicales de :

  • PTYX : Jean-Baptiste Apéré, Hélène Aubineau, Marie Chazelle, Camille Gueirard, Yu-Hsuan Pai, Louis Mazzocchi, Antoine Moulin et Pauline Vanagt
  • Violaine Lochu et Julien Desprez
  • Axelle Glaie et Emilie Cousteix

Lors de l'été 2021, les Soirées Lyriques de Sanxay ont lancé un nouveau format : les "Soirées Lyriques en itinérance".

Dans ce cadre, un concert gratuit a été donné le vendredi 30 juillet 2021 à 18 h, dans la collégiale Saint-Maurice d'Oiron.

Une centaine de personnes ont assisté au récital proposé par :
Alfred BIRONIEN, ténor
et Stéphane CARVALHO, guitare

Choix de Jean-Hubert Martin

dans la collection Antoine de Galbert

170 oeuvres sont venues pour trois mois ouvrir un nouveau chapitre du cabinet de curiosités d'Oiron présent depuis 1993 au travers de sa collection permanente d'art contemporain.

Chaque salle s'est enrichie de nouvelles oeuvres qui venaient amplifier les thématiques servant de classification à la collection initiale, ouvrant à des dialogues parfois étonnant entre les deux collections.

Dans les galeries d'exposition, la collection d'Antoine de Galbert s'est déployée selon des thèmes qui lui étaient propres avec une place importante laissée à l'oeil, au visage et ses expressions, aux blessures.