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En partenariat avec le Château d'’Oiron, le Conservatoire Tyndo a proposé de vivre, lors de cette soirée, un bond dans le temps qui a ramené aux bals de la Renaissance française. Ainsi, il a été possible danser sur des musiques jouées lors des bals sous François 1er .

16 h 30 : Conférence à deux voix

Dans le cabinet des Muses, les musiciens d'Into the Winds ont ouvert la soirée, à l'aide de leurs instruments anciens.
Cet ensemble, fondé en 2016, est composé de jeunes musiciens passionnés. Une envie commune de découvrir des sonorités oubliées les a réuni. Ils se sont pour cela muni d’instruments à vent anciens tels que des bombardes, des flûtes, des sacqueboutes… Ce quatuor de musiciens, Anabelle Guibeaud, Adrien Reboisson, Marion Le Moal et Rémi Lécorché, est accompagné par un percussionniste Laurent Sauron et d'’un guitariste spécialisé dans la Luth et les guitares de la Renaissance, Morgan Marquié.

Patricia, guide au château, a ensuite évoqué brièvement la carrière de Claude Gouffier. Elle s'est ensuite étendue un peu plus longuement sur la deuxième partie de la vie de son petit-fils Louis Gouffier, qui a entre autres fait réaliser la salle où se produisait les musiciens.

Après la présentation de différents instruments, l'ensemble a joué un quelques morceaux.

18 h 30 : Initiation à la danse Renaissance

Les musiciens ont invité le public à danser comme à l’époque de la Renaissance en initiant à cette musique et à ces pas particuliers.

19 h : bal Renaissance

Jusqu'à 21 h, l'ensemble Into the Winds a fait découvrir le répertoire profane et sacré du Moyen-Âge à la Renaissance. Il était accompagné par les ensembles instrumentaux et chanteurs du conservatoire de Tyndo, ainsi que par les élèves des écoles de Sainte-Radegonde et de Taizé.

Restitution des résultats du projet collectif de recherche (2016 - 2018)

Monumentalismes et territoires au Néolithique entre Loire et Charente

Formes et environnements des mégalithes et des enceintes

 

Samedi 13 octobre 2018

11 h : Vernissage de l'exposition "Artificiala & Mineralis"
Après les allocutions des différentes personnalités, Vincent Ard (chargé de recherche CNRS) et l'artiste Dieudonné Cartier ont expliqué leur démarche.

14 h - 16 h 15 : Conférences

14 h - 15 h : Monumentalismes et territoires au Néolithique entre Loire et Charente par Vincent Ard et Emmanuel Mens.

15 h - 16 h 15 : Mégalithes et culture sumbanaise   par Tara Steimer-Herbet

 

17 h 15 - 19 h : Visite commentée du dolmen dit La Pierre Folle des Ormeaux

A 17 h 00, une centaine de personnes se sont retrouvées près du dolmen dit La Pierre Folle des Ormeaux,

Une centaine de personnes ont pu prendre connaissance de différentes facettes de ce monument  (situé à Bournand, près de Loudun, dans le nord de la Vienne), grâce aux commentaires d'Emmanuel Mens (ingénieur de recherche CNRS) et de Didier Poncet (conservateur en chef du patrimoine, Communauté de Communes du Thouarsais).

 

Dimanche 14 octobre 2018

9 h 30 - 12 h 45 : Conférences

9 h 30 - 10 h 15 : Monumentalités du monde des morts et des vivants  par Vincent Ard

10 h 15 - 11 h : Architectures et technologie des mégalithes   par Emmanuel Mens et Didier Poncet

11 h 15 - 11 h 45 : Reconstituer les paysages néolithiques par Vivien Mathé et Marylise Onfray

11 h 45 - 12 h 15 : Prospections et inventaires par Eric Bouchet et Marlène Mazière

12 h 15 - 12 h 45 : NéOdyssée, l'odyssée du Néolithique entre Loire et Charente  par Mélanie Moreau et Vincent Aguillon

 

14 h 30 - 16 h 30 : Visite commentée des dolmens E145 et E134 de la nécropole mégalithique de Monpalais (Taizé - 79)

Une centaine de personnes ont suivi la visite commenté de ces deux dolmens par Emmanuel Mens et Didier Poncet.

Catherine Louboutin a animé la discussion finale, après une synthèse des principaux résultats présentés lors de ce week-end.

 

 

En collaboration avec « L’ObservaThouars », atelier d’astronomie du Centre Socio Culturel de Thouars, le château proposait, de 10 h 30 à 18 h 30, un atelier inspiré des « Brûlures solaires » de Charles Ross : « Brûlures saisonnières animées, planétaire en mouvement ».

Dans le salon du Soleil, Daniel, membre de l'ObservaThouars, expliquait, à partir de vidéos, schémas à l'appui, la variation de la forme des brûlures du soleil selon le moment de l'année, en particulier près d'un solstice ou d'un équinoxe.

Pour plus de précisions, toute une documentation pouvait être consultée sur place.
A côté, dans le salon des Belles-Lettres, on pouvait assister à la démonstration d'un planétaire en mouvement : il s'agit d'une maquette animée du système solaire qui respecte les vitesses relatives des planètes sans toutefois respecter les dimensions.

A l'extérieur, dans le parc, le matériel était préparé pour l'animation nocturne du soir. Le dispositif de Charles Ross avait été reconstitué (planche de bois peinte placée sous le foyer d'une lentille de Fresnel).

 

Pour plus de précisions scientifiques, il est fortement conseillé de consulter le site Internet du club d’astronomie thouarsais : L’ObservaThouars

 

Dans le parc du château, le public était convié, à partir de 20 h, à une séance gratuite d'observation avec le matériel de pointe mis à disposition par le club d'astronomie thouarsais, l'ObservaThouars.

Près d'une centaine de personnes ont répondu à l'invitation.

Une fois l'obscurité complète, grâce aux conseils éclairés des membres du club, l'ObservaThouars, chacun, à l'aide de la carte fournie, a pu localiser les principaux objets brillants visibles : Antarès et la constellation du Scorpion, l'étoile polaire, ...

A 22 h 55, le public a pu voir la station spatiale internationale (ISS) traverser le ciel pendant environ une minute.
Le télescope a permis d'entrevoir la galaxie d'Andromède ...

Pour plus de précisions scientifiques, il est fortement conseillé de consulter le site Internet du club d'astronomie thouarsais : L'ObservaThouars

 

Le château d’Oiron a accueilli Tyndo (Conservatoire de musiques et de danses du Thouarsais) et les musiques minimalistes.

 

A 14 heures 30, dans la salle des Anamorphoses, Stéphane Bonneau (professeur de violoncelle du Conservatoire et membre de l’ensemble de 14 violoncelles, Nomos), a présenté les origines de la musique minimaliste.
Après cet exposé, il a interprété The South Down’s de Gavin Bryars, accompagné au piano par François Goutal.

A 16 heures 30, dans la salle d’Armes, les élèves des classes Guitare classique et Musiques actuelles (guitares électriques, basses, guitares folk et grand ensemble de guitares classiques) ont donc créé l’oeuvre System Out (commandée au compositeur Jean-Marie Lemarchand).
L’après-midi s’est terminée par l’interprétation de In C de Terry Riley, par les professeurs et élèves des 2e et 3e cycles de guitare.